Un peu plus de 8000 dépistages ont ainsi été effectués en 18 jours, et 25 tests se sont révélés positifs. Pour ces 25 personnes, les membres du RENIP+ ont pris le temps de leur parler de la maladie et de la prise en charge. A ce moment délicat où il fallait apprendre aux personnes qu'elles étaient séropositives, les membres du RENIP+ dévoilait leur propre statut de PVVIH. Ils prenaient le temps de rassurer les personnes et d'atténuer quelque peu le choc ressenti, en leur expliquant les examens à effectuer, le traitement à suivre, et en leur fournissant la liste des centres prescripteurs. Les membres du RENIP+ ont parlé des associations de PVVIH qui jouent un grand rôle dans le réconfort et la solidarité entre malades, et n'ont pas hésité à donner leur numéro de téléphone personnel pour que le contact soit établi. La plus grosse frustration des conseillers a été de devoir quitter des villages, souvent très tard dans la nuit, sans que toute la population candidate au dépistage ait pu être reçue.
4 MEMBRES DU RENIP+ ONT PARTICIPE A UNE CAMPAGNE DE DEPISTAGE A TILLABERY
La Caravane de dépistage était organisée par l'ONDPH en collaboration avec le RENIP+ et l'Association ANIMAS SUTURA (Marketing social), sur un financement de l'ULSS (Ministère de la Santé). Elle s'est déroulée dans de nombreux villages aux alentours de Tillabery, du 18 janvier au 04 février 2010. Chaque matin, une fois arrivée dans un village, la Caravane annonçait son objectif aux habitants par hauts-parleurs et les invitait à rejoindre le lieu du dépistage. L'une après l'autre, les personnes désirant faire le test étaient reçues par un membre du RENIP+ qui leur expliquait en quoi consistait le test et leur parlait de façon plus générale du sida et de ses modes de transmission, tout en testant le niveau de connaissance des gens au sujet de la maladie. Une fois le prélèvement de sang effectué par les laborantins de la Caravane, les personnes étaient invitées à patienter environ 15 minutes, après quoi les membres du RENIP+ les recevaient à nouveau pour leur faire part du résultat.
Un peu plus de 8000 dépistages ont ainsi été effectués en 18 jours, et 25 tests se sont révélés positifs. Pour ces 25 personnes, les membres du RENIP+ ont pris le temps de leur parler de la maladie et de la prise en charge. A ce moment délicat où il fallait apprendre aux personnes qu'elles étaient séropositives, les membres du RENIP+ dévoilait leur propre statut de PVVIH. Ils prenaient le temps de rassurer les personnes et d'atténuer quelque peu le choc ressenti, en leur expliquant les examens à effectuer, le traitement à suivre, et en leur fournissant la liste des centres prescripteurs. Les membres du RENIP+ ont parlé des associations de PVVIH qui jouent un grand rôle dans le réconfort et la solidarité entre malades, et n'ont pas hésité à donner leur numéro de téléphone personnel pour que le contact soit établi. La plus grosse frustration des conseillers a été de devoir quitter des villages, souvent très tard dans la nuit, sans que toute la population candidate au dépistage ait pu être reçue.
Un peu plus de 8000 dépistages ont ainsi été effectués en 18 jours, et 25 tests se sont révélés positifs. Pour ces 25 personnes, les membres du RENIP+ ont pris le temps de leur parler de la maladie et de la prise en charge. A ce moment délicat où il fallait apprendre aux personnes qu'elles étaient séropositives, les membres du RENIP+ dévoilait leur propre statut de PVVIH. Ils prenaient le temps de rassurer les personnes et d'atténuer quelque peu le choc ressenti, en leur expliquant les examens à effectuer, le traitement à suivre, et en leur fournissant la liste des centres prescripteurs. Les membres du RENIP+ ont parlé des associations de PVVIH qui jouent un grand rôle dans le réconfort et la solidarité entre malades, et n'ont pas hésité à donner leur numéro de téléphone personnel pour que le contact soit établi. La plus grosse frustration des conseillers a été de devoir quitter des villages, souvent très tard dans la nuit, sans que toute la population candidate au dépistage ait pu être reçue.
08 FEVRIER 2010 : 4ème ASSEMBLEE GENERALE DU RESEAU NIGERIEN DES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH-SIDA
Les travaux ont commencé ce lundi à l'Académie des Arts et se sont achevés ce mardi matin dans les locaux de l'ONG SongES-Niger.
Les membres du Bureau exécutif sortant ont présenté leur rapport moral, leur rapport d'activités et leur rapport financier, tous trois approuvés par l'Assemblée.
Après l'examen des textes fondateurs du réseau pour y apporter quelques aménagements, les participants ont procédé à l'élection du nouveau BEN. Les cinq membres sortants ont été reconduits dans leurs fonctions, avec des mandats de trois ans. Deux commissaires aux comptes ont également été élus.L'Assemblée générale s'est prolongée durant toute la semaine par des ateliers de formation sur la vie associative, le rapportage et la communication.
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